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« De façon maladroite, avec une grosse aiguille, du gros fil, il coud les boutons du manteau. Il parle tout seul : As-tu mangé ton pain ? As-tu dormi tranquillement ? As-tu pu parler ? Tendre la main ?T’es-tu souvenu de regarder par la fenêtre ?As-tu souri lorsqu’on a frappé à la porte ? S’il y a toujours la mort, elle est seconde. La liberté toujours est la première ». Yannis Ritsos, Le funambule et la lune.
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