Je peux m’imaginer en apocalyptique: le monde, qu’il périsse. “I have no spiritual investment in the world as it is”. Mais je comprends qu’un autre, lui, investisse dans ce monde et voie dans l’apocalypse, sous quelque forme que ce soit, le principe adverse et qu’il fasse tout le possible pour le subjuguer et le réprimer, parce que venant de là peuvent se déchaîner des forces que nous ne sommes pas en situation de surmonter. Et comme me dit souvent mon amie Alex : Quelques psaumes suffisent à toute la tragédie Grecque…Puis tel le légendaire mythe, tout est régénéré, et il faut souffrir encore.