Pourtant son chant, quoique, empreint de tristesse, était merveilleusement beau ; mais il a dérangé le gorille géant sur lequel lui et ses semblables vivaient, dans sa sieste. Alors le gorille le retira de son pelage et le jetât à ses éphèbes noirs, énormes, imberbes et nus ; qui se mirent à jouer au ballon…avec la tête du malheureux.
Le monde ne se tut que le temps du châtiment, puis reprit son rythme…les uns jouant aux cartes, les autres prenant un verre..etc…Mais le contenant devait jouer une symphonie toute différente de celle du contenu… Sourires forcés, discussions stériles, apparats de circonstance… Enfin, toutes les contraintes de la vie en société, cet incommensurable opéra disharmonieux.
De toutes façons, qu’eurent compris les autres musiciens si la mélodie originale leur eut été jouée?!…