La conscience est une “habitude” séculaire, le souvenir ineffacé malgré tant d’efforts pour le faire disparaitre, de l’unité perdue d’un clan, de celui des hommes. Elle est douleur, causée par cette perte, et espoir de tout réparer. Pourtant pour moi la conscience est la plus vague de toutes les notions…mais reste la plus concrète de même que la vérité…L’un des préjugés les plus répandus est que moins l’homme est conscient et plus pleine est la sensation que la vie lui fait éprouver…dénaturalisation de la conscience.
L’issue ? sortir du cercle vicieux de la conscience dénaturée ?Dans le champ de sa conscience et de ses actes, une réalité en dissimule une autre plus profonde, la vraie mais on ne la voit pas…car il faudrait que le voile de dissipe pour voir le monde tel qu’il est.
Elle apparait tel un rayon éclatant qui jaillit soudain de son cerveau, un glaive de lumière mais l’instant d’après tout disparait dans cette nuit ou tout se confond et se perd dans la foule des fantômes..c’est peut être ce qui explique la vitalité de ce mot.
Et comme disait Pouchkine maintenir le cap…”la jeune vie, qu’elle mène ses jeux folâtres devant l’entrée des sépultures”.
S.M