
(…) c’était si terrible si l’entrée du paradis était en tout semblable à celle de la mort. aller au paradis, pensait maria de graça, c’était mourir. cette idée la laissait stupéfaite, comme si, par nature, une chose en pouvait signifier une autre.
L’Apocalypse des travailleurs, Valter Hugo Mãe (Métailié)
איך אנחנו מביטים על החיים שלנו ועל מה שיש לנו….פתאום הלחם נראה בעינינו זהב והספלים והפרח….והם תמיד היו שם…זווית הראיה שלנו משפיע על צבעי החיים שלנו..
La figure du double interroge doublement… 😉