Ce n’est que trop vrai que “L’enfance c’est l’horreur d’être le jouet des autres.” Cette fuite du mépris, de l’indifférence des “grandes personnes” qui n’ont “rien à se dire”, rien à dire au “petit” et aucune valeur en partage. Au fond les choses sont plus simples que bien des constructions élaborées. Nous mourrons de l’oubli d’un principe fondamental : la loi naturelle du devoir de bonté ( mot et sentiment “trop humanistes” ) que nous devons à nos semblables et d’abord aux enfants. Alors il ne leur reste que le carrousel mis en mouvement comme une approche de la perte de connaissance par les Derviches tourneurs.

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