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L’horizon départage ciel et terre, sans être ni l’un ni l’autre, n’existe que dans le regard. Vide, essaim de centres éclairs entre chutes verticales.
Tout est la même chose, l’Un, le début, ce dont on s’éloigne divisé. Le reste, un fond sans limite.
Au moment où la quête réalise son dessein, les éléments du nouvel ordre constitué ont déjà perdu toute nécessité. À s’acharner le monde nu s’entre-dévore.
Puissance égale entre pensée et parole . Le barbarisme contrarié par son visage qu’il considérait n’être pas le sien. L’absence de sève qui nous sort de la mécanique verbale est rumination vide. Les épaisseurs de lierre retiennent les pierres du mur de Ponty. On déambule parmi quelques-unes roulées au sol, nous habitons dans le musée des fouilles. Vouloir la logique dans l’incohérence des images rêvées. Il est vain d’inventer les gestes nécessaires pour mieux traverser la rivière quand la crue emportera le pont.
La pensée ne cesse de faire du lien à partir de la première symbolique. Pourtant on ne peut pas dire à quoi on pense puisque c’est avec le perdu qu’on pense. Le mouvement intentionnel fait paraitre le corps subjectif.